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Choc. Qui seront les champions du Canada Est en 2015 ?

Albert-Dominic Larouche vient d’annoncer via Facebook sont retrait entant que compétiteur individuel pour la saison 2015 des Crossfit Games. Après avoir bien représenté le Canada de l’est depuis les 4 dernères années, il se retire pour laisser la place à d’autres projets de vie.

Ce n’est pas une décision facile, mais je suis ailleurs présentement, les derniers temps ont été particulièrement plus rude pour moi, mais je crois avoir accomplit ce que j’avais à accomplir. 4 années aux CrossFit Games, l’ouverture de mon gym et ma carrière en dehors du CrossFit me remplissent de fierté. – ADL

Faisons un petit détour dans la vie d’Albert-Dominic Larouche.

Âgé seulement de 24 ans, il est policier de profession et vient tout juste d’ouvrir son gym, le Crossfit ADM avec un ami et partenaire, Max Roy De Sylva. Pour lui, le Crossfit est un sport et une passion, mais sa carrière de policier ne doit pas être mise de côté, il croit et veut faire les deux en parallèle. Dans son annonce, il n’exprime pas ce que sont ses plans pour le futur, mais nous savons très bien qu’ils seront prometteurs. Albert-Dominic est un homme accomplit et plein d’ambition, malgré son jeune âge le plus beau reste sans aucun doute à venir.

Comme mentionné, je suis rendu ailleurs en ce moment, mes priorités ont changés. J’ai besoin de prendre un peu de repos. Avant de partir pour les CrossFit Games, je m’étais dit que c’était ma dernière année ou du moins je prenais une année de repos en revenant. J’ai décide de retourner immédiatement à l’entraînement au retour de la compétition du a une contre performance (blessure) de ma part en croyant que la tâche était inachevée…erreur. – ADL

Nous lui souhaitons tous le succès et le bonheur pour la suite, on espère te voir peut-être en équipe ou dans des compétitions régionales, pour le plaisir 🙂

À Bientôt !

– L’Équipe Wod Ta Vie

Pour voir l’annonce intégrale, c’est ici.

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Vraiment!? …et bien on dirait que oui! 5 min AMRAP entre notre plongeur national et l’ailier droit québécois des Canucks de Vancouver tourné pour promouvoir la FTL (dont nous vous avons déjà parlé). Est-ce que ça vous donne le goût de vous inscrire ou quoi!?

 

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On s’entend que je ne serai pas celui à vous dire quoi faire lors d’un Clean and Jerk ou d’un Snatch. Un jour peut-être mais en attendant, je vous partage ce super visuel qui résume plutôt bien les différentes variantes en haltérophilie. Ça démystifie vraiment les variantes squat/hang/power!

olympic lifts

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Les bonnes gens de Crossfit Angus ont sous-titrée un des vidéos classiques produits par Crossfit HQ. On aime ça! Plus y’a de contenu franco, mieux notre sport va être vu au Québec 🙂

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Avez vous entendu parler de toutes les grosses compé style Crossfit qui s’en viennent cet automne? Avec la popularité des Crossfit Games, on dirait qu’ils sont en train de faire des petits! Je les ai vu sur Facebook pour commencer alors c’est loin d’être difficile à trouver, mais j’ai fait mes petites recherches pour vous.

Commençons par la Functional Training League. Le site web est plutôt vague mais de ce que j’ai pu comprendre, c’est exactement la formule des Opens. N’importe qui peut s’inscrire, et dans une saison donnée ils lancent un workout par semaine pendant 10 semaines. Les 15 meilleurs sont invités à un tournoi final dont l’endroit semble être un secret. Les frais sont de 60$ pour une saison, 120$ (avec un tshirt et une casquette) pour 2.

J’aime que ça soit d’abord et avant tout une façon de se dépasser et de se tester contre d’autres inconnus. À priori, il ne semble pas y avoir de superstars professionnelles ici. Par contre, les infos sont vagues et le nombre d’inscrits, incertain. J’ai hâte de voir s’ils vont partager les vidéos des participants, les workouts ou autre pour qu’il y ait un certain engouement lors de leurs événements.

…dans les 8 équipes mises sur pied, plusieurs top 10 des Crossfit Games passés.

Pour la suite, je vous emmène à l’opposé complètement, avec un ligue de pros consistant d’équipes de 10 joueurs qui joue au « Grid »: la National Pro Grid League. Le Grid s’agit essentiellement de wods en équipe, avec quelques variantes intéressantes. Surtout qu’il s’agit ici de noms qu’on reconnait: dans les 8 équipes mises sur pied, plusieurs top 10 des Crossfit Games passés. Alessandra Pichelli, Ben Wise, Lukas Hogberg, Lindsey Valenzuela, Noah Olsen, Annie Thorisdottir, Mat Fraser, et j’en passe… La liste est longue!

La NPGL aurait été fondé par un ancien Directeur aux Communications du Crossfit HQ qui voulait emmener le sport vers un calibre professionnel plus relevé et une consommation plus immédiate pour le spectateur.

Il y a déjà eu plusieurs parties de Grid joués dans les dernières semaines, voyez les archives et les résultats ICI! Avec les mêmes équipes qui pratique les mêmes workouts, et chaque match durant un peu moins de 2 heures, ça devient vraiment intéressant de comparer les stratégies et les forces de chaque équipe. D’ailleurs, ne nous vous disions pas à quel point les Team Games avaient été excitants cette année? Le Grid, ça promet!

…évidemment, c’est ce qui emmène autant de gens à s’y intéresser, du point de vue du spectateur.

La dernière compétition (et certainement non la moindre!) est celle des Crossfit Team Series. Avec la visibilité que Crossfit se donne sur les médias sociaux, beaucoup d’entre nous ont déjà eu la chance d’en voir les grandes lignes. Il s’agirait donc du même format que les Opens, en équipe de 4, dont 2 gars et 2 filles. La différence entre les Crossfit Team Series et la FTL, c’est les têtes d’affiche. Plusieurs équipes de professionnels ont déjà été annoncées. Certains diront que ça devient difficile de compétitionner contre ces équipes dans une formule Open (n’importe qui peut s’inscrire) mais évidemment, c’est ce qui emmène autant de gens à s’y intéresser, du point de vue du spectateur.

Nous retrouverons donc notre Camille Nationale aux côtés de Josh Bridges, Dan Bailey et Lauren Fischer dans la Team Rogue Fitness Red contre des noms tel Rich Froning, Jason Khalipa, Julie Foucher et Samantha Briggs (Team Rogue Fitness Black). Cette dernière équipe étant la 1ère à avoir été annoncée, ça indique bien le niveau de compétition (Julie Foucher étant la seule à n’avoir jamais touché la 1ère marche des Games dans cette équipe… que la 2e!).

Les Crossfit Team Series commenceront le weekend du 28 Aout avec plusieurs WOD déjà annoncés. Votre gym a-t-elle inscrit une équipe?

Une chose semble certaine, l’entrainement fonctionnel en tant que sport prend des proportions inespérés. Que ce soit sous la bannière Crossfit ou pas, ça devient une activité ou tout le monde peut y trouver son compte, que ce soit en tant que spectateur, d’amateur ou bien d’athlète de haut calibre. Qu’est-ce qu’on peut demande de plus!?

 

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On n’aura pas pu s’en sauver, vos éditeurs se sont fait nominés pour le Ice Bucket Challenge.

Rappellons que le défi consiste à se verser un sceau d’eau glacé sur la tête ou de faire un don pour une cause. Le mouvement est devenu viral après que le golfeur Chris Kennedy l’ait fait et choisisse la maladie de Lou Gehrig. Depuis, le challenge est intimement lié à cette cause.

Si l’on relève le défi, nous n’avons pas à remettre d’argent à la cause, ce qui est plutôt ironique de voir autant de gens le faire n’est-ce pas? Nous avons choisi de faire les 2. Nous avons relevé le challenge, en plus de verser des dons.

Pour nous, athlètes de tous niveaux, il est important de noter que la maladie de Lou Gehrig (ou Sclérose Latérale Amyotrophique – SLA) est une maladie neuromusculaire qui se caractérise par la dégénérescence d’un ensemble précis de cellules nerveuses au niveau du cerveau et de la moelle épinière. Peu à peu, cette détérioration entraîne l’incapacité du cerveau à initier et contrôler tout mouvement musculaire volontaire. A l’heure actuelle, au Canada, on compte de 2 500 à 3 000 personnes atteintes et deux nouveaux cas par 100 000 habitants sont découverts chaque année. L’espérance de vie des personnes affectées est très courte puisque la maladie s’attaque rapidement au diaphragme (respiration) et à la gorge (déglutition).

Pour faire un don ça prend moins de temps que de booker un workout sur le site de votre gym. Voici le lien: sla-quebec.ca/donnez.php

Voici nos vidéos

 

Éric

Andy

Phil

 

Une dernière nomination commune : Éric, Andy et Phil, nous nominons les fans de WodTaVie au Ice Bucket Challenge. Une cause qui devrait toucher les sportifs et surtout, prouvez-nous que vous êtes braves 🙂 Relevez le défi et envoyez-nous votre vidéo sur notre page Facebook ou en commentaire ici !

Vous avez 24h !

 

Bonus! Si vous le faites, faites attention à vous!

https://www.youtube.com/watch?v=1t2zn7Ve0bw

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Je suis tombé sur l’article d’un gym à Winnipeg cette semaine qui parlait des bénéfices d’écouter son coach. Personnellement, chaque fois que mes coachs me donnent un conseil, j’ai l’impression d’en ressentir les bénéfices immédiatement. J’adore le feeling de m’être amélioré techniquement au moins autant que celui d’atteindre de nouveaux PRs. Pour cette raison, j’ai choisi de traduire cet article et de vous le partager.

Vous trouverez l’original par Mike sur Crossfit 204.

Our job is to find a way to help you move better, and your job is to be open to change.
Notre job c’est de vous aider à trouver des meilleures façons de bouger, votre job c’est d’être ouvert au changement.

Le meilleur type d’athlète avec qui travailler, quel que soit son niveau de compétence, est un athlète qui est facile à diriger.

Être ouvert à la formation a peu à voir avec la capacité physique. Certaines personnes apprennent très rapidement à cause de talents innés pour la dextérité, la coordination et ainsi de suite, mais d’autres prennent beaucoup plus de temps, ce qui est très correct aussi. Dons physiques de côté, c’est une mentalité spécifique qui aide certains athlètes à progresser plus rapidement que d’autres. Bien plus rapidement.

Les athlètes coachables  sont comme des figurines modernes avec des dizaines d’articulations qui se déplacent dans toutes les directions. Vous pouvez ajuster ces athlètes facilement parce qu’ils sont prêts à se déplacer comme vous le leur demandez. Il ne s’agit pas de mobilité; c’est une question d’attitude. Il pourrait être bizarre ou maladroit pour ces athlètes de changer leur technique, mais ils sont prêts à essayer, et ils vont investir dans un peu d’inconfort à court terme pour le succès à long terme.

Les athlètes plus difficiles à coacher sont comme les figurines des années 80, comme celles de Star Wars qui bougeaient seulement au niveau des hanches et des épaules. Ces athlètes ne veulent pas vraiment changer de position ou de technique et résisteront activement aux tentatives visant à améliorer leur forme. La plupart le font inconsciemment, mais sans relâche, et c’est plus un blocage mental que d’une limitation physique. Les phrases de ce genre sont fréquentes:

« Mais je l’ai toujours fait de cette façon. »

« Ta façon est bizarre» ou «Je ne me sens pas aussi fort quand je le fais à ta façon. »

« Cette façon est plus lente. »

« Mais je l’ai fait comme ça à un autre gym. »

« Je ne peux pas le faire parce que (insérer la raison ici). »

Dans le dernier exemple, la raison peut souvent être un problème de mobilité, mais c’est habituellement juste une autre façon créative de dire: «Je ne veux pas faire ce que vous demandez. »

J’ai appris que dans certains cas, les athlètes sont corrects, leur façon fonctionne mieux. Mais avec un athlète coachable, l’échange va quelque chose comme suis:

-«As-tu déjà essayé de squatter avec tes pieds plus rapprochés? »

-« Non, mais je vais essayer. »

-« Hmm. Je pense que c’était mieux à ta façon. Tu peux poursuivre.  »

« Cool ».

Un échange comme ça, c’est incroyablement productif tant pour l’entraîneur que l’athlète.

Dans de nombreux autres cas, l’athlète a juste besoin de changer une mauvaise habitude ou corriger la mauvaise forme, ce qui exige des efforts et de la patience. Les athlètes paient les entraîneurs de CrossFit pour les aider à se déplacer mieux, et je n’ai jamais compris pourquoi quelqu’un paierait pour ce service et ignorerait les instructions. Si vous voulez faire des squats peu profonds avec vos genoux vers l’intérieur, ou si vous voulez un PR au deadlift avec le dos rond, vous pouvez trouver des moyens moins coûteux de le faire. Si vous désirez maximiser un lift aujourd’hui au lieu de prendre du recul et investir dans un plus grand succès demain, votre garage est le meilleur endroit pour cela. Mais si vous voulez bouger mieux et  améliorer votre forme physique, les instructions d’un entraîneur deviennent très précieuses.

Si un entraîneur vous demande de changer quelque chose, vos mouvements actuels sont en dehors de ce qui est considéré une technique optimale, d’où les instructions. À ce moment, il est dans votre intérêt de donner à la suggestion une certaine considération et de travailler avec l’entraîneur afin de trouver la meilleure solution. Un bon entraîneur n’exigera jamais des changements immédiats sauf si votre sécurité est en jeu ou si vous ignorez les normes de mouvement pour un workout; les bons entraîneurs travailleront avec votre corps unique pour vous aider à aller aussi bien que vous le pouvez.

C’est un donnant-donnant à partir duquel les athlètes coachables émergent en meilleure forme physique et les athlètes plus têtus émergent frustrés.

Mais si vous trouvez constamment des raisons pour lesquelles vous ne pouvez pas ou ne voulez pas faire un changement, vous ne réussirez jamais à vous améliorer.

C’est comme la citation de Tony Robbins: «Si vous faites ce que vous avez toujours fait, vous obtiendrez ce que vous avez toujours obtenu. »

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Cet article est en constant progrès. Partagez-nous vos suggestions!

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Abmat: Coussin lombaire pour les redressements assis.

AMRAP (As Many Reps/Rounds as Possible): un WOD accompagné d’un temps limite et à l’intérieur duquel il faut accomplir le plus de répétitions ou bien de séries.

Box Jump: (voir plyo)

BP (Bench press): développé couché

BS (Back squat): Squat en portant une barre olympique sur le derrière des épaules.

BW/BWT (Body weight): Son propre poids corporel, reference pour plusieurs mouvements de musculation et d’halterophilie.

Butterfly pull ups: voir PU

C2B (Chest to bar):

CFT (CrossFit Total): Total de son max (front) squat, press, et deadlift.

Clean (Hang Clean/Power Clean): Épaulé. Technique d’haltérophilie consistant à déplacer une barre olympique du sol au front rack (voir plus bas).

C&J (Clean and Jerk): Épaulé-Jeté (Discipline olympique). Technique d’haltérophilie consistant à déplacer une barre olympique du sol au-dessus de la tête à bout de bras en 2 mouvements distincts.

C2: Rameur de modèle Concept II

Chipper: WOD consistant de plusieurs mouvements avec un haut taux de répétitions.

DL (Deadlift): (Soulevé de Terre) Technique de musculation consistant à soulever une barre olympique du sol.

DU (Double Unders): Saut de corde à danser; un saut pour 2 tours de la corde.

EMOM (Every Minute on The Minute): Exercice à exécuter à toutes les minutes à la minute.

FS (Front Squat): Squat en portant une barre olympique à la position front rack (voir rack position).

GHD (Glutes/Hamstring Developer). Appareil servant au développement des fessiers et des ischio-jambiers.

GHD Situp: Situp sur un GHD.

Goblet Squat/Lunge: Façon de pratiquer le mouvement avec un poids (haltère ou kettlebell) entre les mains, à la hauteur de la poitrine.

HSPU (Hand stand push up): Pushup en équilibre sur les mains, avec les pieds en appui sur un mur au besoin.

KB (Kettlebell): Poids libre d’origine russe et ressemblant à une bouilloire (kettle).

Kip: Élan des hanches/jambes pour donner de la vitesse lors de mouvements tels les pull ups, muscle ups, handstand push ups. Contraire de strict.

K2E (Knees to elbows): Genoux aux coudes (en suspension sur une barre horizontale).

L-sit: En suspension ou en position de dip, aux anneaux ou bien à l’aide de parallettes, se tenir à la verticale avec les jambes à 90 degrés.

Lunge: Fente: Grand pas vers l’avant, flexion des genoux.

MetCon: Entrainement de conditionnement.

MU (Muscle ups): Suspendu aux anneaux ou à une barre horizontale, combinaison d’une traction et d’un dip pour terminer en position verticale, les mains au niveau des hanches.

OHS (Overhead squat): Squat avec bras en extension au-dessus de la tête portant une barre olympique.

Pass-throughs: Étirement des épaules consistant en une rotation externe avec un pvc ou un manche à balai.

Plyo Box/Plyometrics/Box Jumps: La plyométrie consiste à développer la force explosive à l’aide de sauts. Les box jumps en sont probablement l’exemple le plus utilisé en entrainement fonctionnel mais elle inclue aussi les squat jumps, et les plyo push ups.

Pood: Mesure de poids des kettlebells, 1 pood =33 livres

PR (Personal record): Meilleur résultat personnel pour un exercice donné.

PP (Push press): Voir Shoulder To Overhead

PU (Pull ups): tractions à la barre horizontale. Peuvent être exigés stricts (sans élan) ou kipping (voir kip), au menton ou bien à la poitrine (voir C2B). Pour une technique plus rapide, les butterfly pullups seront exécutés avec une rotation des épaules lors de la transition du haut vers le bas.

RX: Poids prescrit pour un mouvement donné, sans ajustement.

Rack Position (Front Rack): Une position de base en haltérophilie, port de la barre olympique sur le devant des épaules.

RM: Répétition maximum. 1RM étant le poids maximal pouvant être utilisé pour une répétition par un individu.

Samson Stretch: Étirement de la chaîne antérieur consistant en un lunge avec les bras bien au dessus de la tête et le dos cambré.

Scaling/scaled: Ajustement (diminution) du poids pour un exercice donné.

Set: Série. Un nombre de répétitions donné.

Shoulder Dislocates: voir Pass Throughs

SN (Snatch): Arraché. Technique d’haltérophilie consistant à déplacer une barre olympique du sol au Overhead Squat en un seul mouvement rapide, suivi de l’extension en position debout.

STO (Shoulder To Overhead): Technique de musculation consistant à amener une barre olympique du front rack (voir rack position) à la pleine extension des bras au-dessus de la tête. 3 variantes sont possible, de la plus simple à la plus technique. Shoulder Press: Levé de la barre, strict, sans elan. Push Press: précéder le press d’une légère flexion des jambes pour donner une impulsion verticale au mouvement. Jerk (jeté): Push press avec un attrapé sous la barre en flexion, suivi de l’extension debout.

Strict: voir Kip.

SQ (Squat/Air Squat): Accroupissement. Mouvement debout consistant à passer en position accroupie et à se relever.

Thrusters: Mouvement propre au CrosFit combinant un front squat et un shoulder press.

TGU (Turkish get-up): Mouvement complexe consistant à passer de position allongée sur le dos à la position debout avec un kettlebell porté à bout de bras.

T2B (Toes to bar): En suspension sur une barre horizontale, toucher les orteils à la barre.

WB (Wall Ball Shots/Wall Ball Squats): Mouvement consistant à exécuter un squat avec un ballon lesté en se relevant explosivement pour lancer le ballon au mur à une hauteur donnée.

WOD: Workout of the day

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Ce n’est déjà plus un secret pour personne, Camille Leblanc-Bazinet est la « Femme la plus Fit au Monde ». Sur mon feed FB ce matin, ce n’est que ça! Voyez l’article de la Presse d’hier soir et celui de RDS ce matin.

J’ai travaillé sur plusieurs de mes faiblesses au cours de la dernière année. Je travaillais toujours comme si j’étais aux Games. Et là, aujourd’hui… C’est arrivé!

women's podium

Quant à Michèle Letendre, c’est sa 8e place au Double Grace (2X le fameux benchmark de 30 épaulés jetés, mine de rien) qui aura eu le dernier mot, le podium lui échappant que d’un maigre 6 points! 4e Femme la plus Fit au Monde, on s’entend… un grand exploit tout de même! Ce sera Annie Thorisdottir, championne 2012, et Julie Foucher, 2e en 2012, qui compléteront le podium chez les Femmes.

Mchele

Du côté des hommes, Rich Froning domine toujours, lui qui en annonçant sa retraite des compétitions individuelles disait vouloir finir en beauté. Chose promise, chose due, il a terminé les 3 WODs de dimanche en 1er, pour terminer avec 50 points d’avance sur Mat Fraser, son plus proche rival. Jason Khalipa, un autre vétéran, termine 3e. Pour nos gars Québécois, cette année ne sera donc pas aussi déterminante. Paul Tremblay s’est bien démarqué dans sa 1ère année au Games avec une 31 place. Il s’en fut de si peu pour qu’il participe à la grande finale, qui ne prenait que le Top 30!! Albert-Dominic Larouche, comme nous le savons tous, n’aura pu compléter les épreuves du à une blessure bête survenue lors du 21-15-9 Complex: mauvais atterrissage en descendant des Muscle Ups.

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Une mention rapide pour les autres Canadiens: Lucas Parker et Tyson Takasaki terminent au 34 et 37e rangs respectivement. Du côté des femmes, les 2 athlètes du Canada West ont terminé 35e (Emily Abott) et 37e (Emily Beers), sans oublier Team ProFit1 de Montréal en 18e place de la Affiliate Cup!

Pro1

 

 

 

 

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Quoique les Reebok Crossfit Games 2014 soient officiellement commencés depuis Mardi avec les épreuves Maître, Mercredi était la journée tant attendue des premières épreuves individuelles et en équipe: The Beach. Pour ceux qui pourraient avoir manqué ça, c’est disponible sur games.crossfit.com. Sinon, vos humbles serviteurs de Wod Ta Vie y étaient et voici quelques photos exclusives que nous avons pour vous! Vous trouverez aussi plus bas le résumé d’événement traduis de l’anglais directement du site des Games.

Andy, Guillaume et Michele Letendre
Andy Benoit à gauche et Guillaume Maillet à droite avec Michèle Letendre peut après sa 4e place à The Beach.
athletes tent Teh Beach
Camille Leblanc-Bazinet avec son mari (et coach au Crossfit HQ) Dave Lipson.
Fortunato The Beach w-u
Tatyana Fortunato en warmup pour les KB Thrusters de The Beach.

L’article suivant est traduit de l’anglais. Trouvez l’original par Mike Warkentin et Andréa Maria Cecil ici.

Carson, Californie – Si le bus était plein de crainte en 2012, il était plein de concentration en 2014.

Il ya deux ans, les athlètes ont été conduits à Camp Pendleton, à l’aube d’un test de longue endurance qui a commencé avec un 700 m de natation. À l’époque, le bus était silencieux, avec de nombreux concurrents qui pensaient à survivre plutôt qu’à gagner après que les Marines américains leurs aient livré des avertissements de marées, de requins, de munitions non explosées et autres dangers dans l’installation militaire.

En 2014, sur un court trajet en bus de Manhattan Beach Marriott à Hermosa Beach Pier, l’ambiance était différente. L’ambiance était plus légère, même pour ceux qui avaient choisi de s’asseoir tranquillement avec leurs écouteurs pendant que Scott Panchik et autres plaisantaient. Il y avait moins de doute et plus de détermination, ainsi qu’une impression qu’un grand nombre d’athlètes ne pensaient pas à terminer, mais plutôt terminer premier.

Les athlètes avaient certainement été averti d’un événement de natation. Les Jeux avaient commencés dans l’eau les trois années précédentes, et il aurait été insensé d’ignorer le motif: Ce qui est passé est souvent prologue dans les CrossFit Games.

Comme les athlètes masculins attaquaient les vagues comme de jeunes David Hasselhoff, il était immédiatement évident que la mer était sous assaut, au moins par la plupart d’entre eux. Certains, bien sûr, étaient loin d’être des poissons, mais environ la moitié du groupe a sprinté dans les vagues avec abandon, tandis que les deux tiers s’y sont déplacés avec confiance. Le dernier tiers semblait incertain alors qu’ils ont pataugé dans l’eau pendant que les vagues d’environ 1 à 3 pieds leur explosaient à la poitrine.

Comme prévu, Jordan Troyan a mené du début à la fin. L’ancien sauveteur américain a augmenté son avance au cours de chaque section de natation, et l’a maintenu pendant les kettlebell thrusters et les burpees dans le sable.

Un groupe de six athlètes, y compris Jonne Koski, Khan Porter et Josh Bridges a chassé Troyan, et le test aurait pu rappelé à Bridges sa formation dans la US Navy. Le groupe ne pouvait pas rattraper le leader, mais Koski en a passé d’autres pour terminer deuxième, à 2 minutes derrière Troyan. Bridges a terminé troisième, et le champion défendant Rich Froning, huitième.

Koski, qui a de l’expérience dans l’eau, s’attendait à bien faire et a déclaré que les vagues ont fourni quelques défis même si dans la foule on riait de la houle insuffisante à surfer.

«C’était dur … en sortant, mais il était facile de revenir à la nage », a-t-il dit.

Il a ajouté: « Il était difficile d’obtenir de la vitesse, mais après 50 m, ça devenait beaucoup plus facile. »

Troyan s’est appuyé sur son expérience pour remporter la victoire. Il a dit qu’il levait la tête à tous les trois à cinq coups pour ajuster son trajet, et effectuait des ajustements pour le courant. Quand il était un maître nageur, lui et les autres vérifiaient les courants quand ils coursaient, et il a dit qu’il « voulait rester un peu à gauche » à Hermosa Beach pour rester sur la bonne voie.

« Vous ne voulez pas avoir à lutter contre le courant», a-t-il ajouté.

L’épreuve féminine a été remportée par un marin qui n’avait aucune envie de quitter le bateau.

« Pour être honnête, j’ai peur de l’eau », a déclaré Anna Tunnicliffe, qui a remporté une médaille d’or en voile aux Jeux olympiques de 2008. Elle était de 25 secondes d’avance sur Chyna Cho. Kara Webb a pris la troisième.

Elisabeth Akinwale était encore sur la plage quand le temps a expiré, alors qu’elle s’était préparé à nager aux Jeux.

«C’est difficile quand vous n’avez pas accès à cet environnement,» dit-elle, faisant référence à nager dans l’océan.

L’athlète de l’Illinois a dit que c’était «une chose mentale» à «se sentir comme vous vous déplacez vers l’arrière», et elle a noté qu’elle était trop à l’aise dans son entrainement.

«J’aurais dû sortir de ma zone de confort », a-t-elle dit.

Dix autres femmes n’ont pas terminé sous la barre des 45 minutes, et six hommes avaient manqué la ligne d’arrivée plus tôt dans la journée.

Tunnicliffe, malgré sa préférence au-dessus des vagues, était prête à plonger.

« Je pense qu’il faut s’y attendre, » dit-elle. « Cela fait quatre ans. … Vous devez être un athlète bien arrondi « .

Pour les résultats complets, visitez le classement.