CrossfitdéfisentrainementEntraînement crossfitfiertéMise en formeMotivation

Le Crossfit c’est un sport tellement beau et fascinant. C’est un sport complexe et remplit de dualités.

Je m’explique.
Lorsque tu t’entraînes en Crossfit, tu dois travailler tellement fort sur toi-même. Physiquement et surtout mentalement. C’est tellement facile de laisser le mental flancher parce que t’es puuuu capable. Dans le fond, ton corps, il les continue les foutus répétitions, mais ta tête elle, elle te lance des signaux te disant que tu as mal et te cries d’arrêter, que ça fait trop mal.
Hier j’ai vécu une des plus belles exemples de la difficulté de ce sport au niveau du mental. Je suis la programmation de Crossfit Invictus depuis déjà quelques mois. Des fois je le fais à 100%, d’autres fois non. Je suis honnête, il y a des jours que c’est plus difficile que d’autres, non mais là je suis humaine tsé !
La programmation était plutôt simple, ce qui sonne majoritairement une alarme que tu vas souffrir, vraiment. Ce qui semble simple sur papier, par expérience, c’est les pires WODs. J’avais des exercices en force et technique avant le dit WOD. Un volume assez haut en back squats et très lourd, ensuite de la technique de Split Jerk et des répétitions à 75% de mon 1RM (1 répétition le plus lourd possible). Donc, jambes et épaules assez réchauffées pour ne pas dire brûlées. Voici le WOD qui m’attendait:
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Event 1 Crossfit Invitational
For Time
45 Pull-ups
45 Thrusters 65 LB (femme) / 95 LB (homme)
Depuis quelques temps, j’ai de la difficulté avec des pull-ups en volume. J’en fais trop en force alors le mouvement butterfly ou Kipping semble lourd, pas contrôlé après 15-20… Bref.
Je fais mes 45 Pull-ups, je chiale un peu, mais ça va plutôt bien… étrangement. Arrive aux Thrusters, qui sont plutôt «léger», je voulais faire à coup de 10 répétitions et finir avec un petit 5. Je prends la barre et au même moment, mon plan à sacré le camps à la poubelle directement à côté de mon courage. J’en fais 5, drop. Quossé ça… J’ai mal… Mes jambes répondent à moitié. Reprends la barre, 5, Drop. Ok. C’est là que j’ai compris que je DEVAIS me concentrer à faire des bonds de 5, prendre quelques secondes de repos, pas trop juste assez et reprendre la foutue barre et en refaire 5.
C’est ça que j’ai fait, difficilement, très, mais je l’ai fait. Rendu à 25 répétitions, j’avais un moton dans la gorge, les poignets en feu sans compter, un moyen contrôle sur mes jambes. 30. Guillaume, mon copain, me lance : 15, c’est rien 15 lâche pas. À ce moment, le moton qui se trouvait dans ma gorge monte directement aux yeux qui se remplissent d’eau et ma parole sort tout seul pour dire : Je peux pas, j’pu capable.
Mon mental avait sacré le camps avec mon plan de match et mon courage direct à la poubelle. Enfin, c’est ce que j’avais l’impression, mais j’avais une petite voix que je ne savais pas trop sortait d’où qui me criait UP ! UP ! Fac je remettais mes mains sur la barre la levait et faisait 5 reps à la fois, jusqu’à la dernière répétition malgré les larmes qui commençaient a ruisseler sur mes joues. 9 minutes 10 secondes plus tard, je l’avais fait. Un bon temps ? Non. Mais j’avais passé au travers.
Je vous vois lire ça et vous dire que je suis une folle sans raison, mais au contraire. Si mon corps n’avait pas pu suivre, je n’aurais pas été capable de le faire. J’avais seulement un combat mental sur l’envie d’abandonner et l’envie de clancher pour en finir pour de bon. Des fois c’est aussi simple que ça. Si tu prends la barre en te disant je suis pu capable, tout fait plus mal. Si tu t’encourages et dis GO GO GO, tu passeras au travers. Oui j’ai pleuré, j’avais mal, très mal, mais c’est rien par rapport au sentiment de satisfaction de ne pas avoir abandonné. J’ai surpassé mon mental et j’ai continué.
Surpassez-vous, tout le monde peut le faire.
Andy
CompétitionMise en formeMotivation

Plusieurs émotions m’ont traversé l’esprit à l’idée de faire le saut. J’étais excitée, pleine d’appréhension, un peu angoissée. C’était la première fois que je m’inscrivais à une compétition, en équipe.  J’ai choisi de participer à une petite compétition locale à mon gym qui permettait, en partie, d’amasser des fonds pour la fondation B3. Cet organisme apporte main forte aux jeunes espoirs sportifs qui n’aurait pas les moyens de vivre de leur passion sans aide.

C’était des équipes de 4 personnes avec un minimum de 2 femmes par équipe. Bien sûr, j’ai choisi de faire la compétition avec mon copain et nos deux acolytes de voyage; Jp et Rosalie !

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L’annonce n’en disait pas trop, juste assez pour faire aller mon imagination de ce qui pourrait m’attendre dans cette journée haute en émotions. 3 jours avant le jour J, seulement une épreuve était annoncée. De la course. Seulement 3 membres de l’équipe devait participer. À la courte paille, j’ai du rester sur le banc et faire la Cheerleader. Soyons honnête, la façon que je pouvais le plus servir à mon équipe était de me retirer. Background de courte durée, aucun talent naturel pour la course, mesure 5 pieds 2 pouces. J’ai d’autres talents.

Le matin-même, on apprend que seulement 5 minutes avant chaque événement nous saurons ce qui nous attends. Pas moyen de faire des stratégies. Humm.. Tant pis !

Premier événement, la course. Mes co-équipiers en fait une vraiment bonne job ! J’étais bien contente, nous l’étions tous.

course

Deuxième événement, le STRONGMAN. Je me disais que ce serait ma force. Chaque membre de l’équipe devait participé. Les points étaient cumulés avec le temps de la dernière personne à terminer le parcours. 1 Homme et 1 femme partent en même temps. La femme donne la tappe à sa partenaire lorsque terminé et l’homme idem avec l’autre homme.

40 M Push Sled (225/135)

8 Tire Flips

80/40 M Farmer walk (log + 10 KG chaque côté)

80 M run avec ball (45/35)

Ce qui est drôle avec ce parcours c’est le Push-Sled au début. Lorsque tu finis ça, on dirait que tu ne sais plus comme tes jambes fonctionnent, elles sont trop lourdes ou trop légères… c’est pas trop clair et après ça il faut que tu aies flipper ce Tire. (Celui de l’homme est plus gros que celui de l femme bien sûr)

 

ZS

 

Suite à la 2e épreuve, nous avons eu droit à une épreuve qui nous a mis en avantage pour une raison en particulier, nous sommes relativement 4 athlètes du même calibre. La 3e épreuve allait comme suit;

50 calories Rameur

50 Frog Sit-Up

50 Wallball 20/16

50 Box jump 20 »/24 »

2 athlètes à la fois. Un homme et une femme. Les 2 athlètes doivent commencer les stations en même temps. Jp et Rosalie ont commencé, dès qu’ils étaient rendus aux Wallballs, nous pouvions commencer notre rameur. Guillaume m’a attendu pour commencer les Sit-up, ensuite je l’ai attendu avant les wallballs pour terminer à 3 reps de différence. Disons que nous étions un bon team ! On a tout donné.

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4e événement et non le moindre;

AMRAP 5 minutes.

5 Burpees

10 Ball Slam 45/20

15 Push-ups hand released

20 KB Deadlifts 36/24 (kg)

Facile, léger, rapide. Ça c’est avéré a être le meilleur événement de ma journée, je me suis vraiment étonnée à garder un bon pace et à 30 sec. de la fin augmenter la cadence comme si ma vie en dépendait ! Chaque membre de l’équipe a tout donné. Ça été un wod qui «rentre dedans» assez solide et encore un peu plus après, tsé quand tu arrêtes de forcer et que soudainement tes muscles te font comprendre que tu as mal !

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Au bout du compte, nous avons eu bien du plaisir et ça donne une belle expérience. Non ce n’était pas une compétition CROSSFIT, mais c’était un beau challenge et la communauté était là de A à Z, entre les équipes ont s’encourageaient, le but était d’avoir du plaisir et se surpasser. La Zone Sportive pense refaire ce type d’événement chaque 6 mois, s’ils le font, j’y serai à coup sûr. D’ici là, ça m’a donné vraiment le goût de faire des compétitions régionales ou locales en équipe. J’ai aimé ce genre de stress. Tu te pousses toujours un peu plus quand tu es en équipe parce que tu sais que si tu arrêtes, ce n’est pas juste toi que tu laisses tombé mais bien le reste de ton équipe.

Tout le monde à la fin est satisfait et surtout, brûlé 😉

ro

 

 

 

 

CrossfitDay to lifeMotivationNon classé

Il y a une couple de semaines je suis tombé sur une séries d’articles parlant de certains principes qui font qu’un gym est bon. J’ai beaucoup aimé leur approche alors je vous la partage aujourd’hui! Vous pouvez lire le texte original de Roberto B. sur WodPlanet. Laissez-nous savoir si vous aimez celui-ci et nous vous partagerons les autres!

« Aujourd’hui, nous commençons une rubrique amusante appelée « à la box ». Ici, nous allons couvrir toutes les choses pertinentes à la box: les coachs et les techniques de coaching, les critiques d’équipement, les drop-ins et leurs avantages pour nous, et les critiques de gyms. Pour commencer, avant toute autre chose, il serait bon d’avoir une première discussion sur ce qui fait une bonne box. Décomposons les bases aujourd’hui, et dans les prochaines semaines, nous allons donner plus de détails sur chaque composante.

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Puisque je me plais à penser en listes et motifs, nous allons isoler trois parties constitutives de tous les grandes boites, et nous allons arbitrairement les faire commencer par la lettre « c » (non pas parce que CrossFit commence par un « c », hehe).

1.) Les Coachs

La première clé du succès en CrossFit est l’entraîneur. Pourquoi? Un bon coaching est indispensable à tout CrossFitter car un bon entraîneur vous enseignera la bonne forme, la technique des lifts, les compétences de gymnastique, et vous encouragera quand vous en avez le plus besoin. Lorsqu’il vous semble que tout va à l’échec, un bon entraîneur sera le « Mickey » à votre « Rocky » quand vous attaquerez ce WOD qui ressemble tout à coup à Mr. T. Votre coach vous motivera, vous fera croire en vous-même, et oui … jettera même l’éponge si nécessaire.

Cela semble beaucoup pour un entraîneur, n’est-ce pas? Mais on parle de CrossFit. Je pense que Rich Froning résumait bien quand il a dit, « Ce n’est pas que vous devez être le meilleur à tout; c’est que vous ne pouvez échouer à quoi que ce soit « . Vos entraîneurs ont mis du temps à apprendre les mouvements clés, les lifts, et les compétences de gymnastique qui font du CrossFit ce qu’il est. Est-ce à dire que chaque entraîneur va être un expert dans tous ces domaines? Non, mais une bonne boîte aura une profondeur et une diversité de son personnel d’entraîneurs qui réunira tous ces domaines. Vous pouvez avoir des entraîneurs qui sont plus allumés en gymnastique, et d’autres qui ont été certifiés en force. Mettez ces deux entraîneurs ensemble dans une boîte et, boum, vous avez l’étoffe d’un excellent entrainement! Maintenant, ajoutez un entraîneur fou qui aime danser pendant WODs à divertir les troupes tout en prenant une pose de yoga à l’occasion et … là vous avez votre mobilité. Dans une boîte, vous avez tout: compétences de gymnastique, de la force et des programmes d’haltérophilie, et de la mobilité (avec un peu de poussière de yoga sur le dessus).

Une bonne boîte aura de la profondeur avec leurs formateurs, tant en nombre qu’en capacité. Cherchez cela, et vous trouverez une grande boîte.

2) Communauté

Si le CrossFit est reconnu pour quoi que ce soit par le reste du monde, c’est en tant que communauté de croyants (bon, ok … il est connu comme un culte! Mais allons, vrais croyants, nous savons que ce n’est pas vrai… Quelle est la première règle de CrossFit? Parler de CrossFit non-stop à tout le monde!). Ce qui rend le CrossFit si grand est la camaraderie qui vient seulement par le partage d’une misère commune et des victoires quotidiennes! Comme l’a dit Sean Woodland, « L’homme qui termine dernière obtient souvent applaudi (pour) plus fort que l’homme qui termine premier. »

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La Communauté CrossFit

Les grandes boîtes ont de grandes communautés. Point à la ligne. Rien de plus, rien de moins. Comment trouvez-vous la marque d’une grande communauté? Jetez un œil sur les règles de la boîte (habituellement affichées sur un mur quelque part, et réitérées par vos entraîneurs): «Sauf indication contraire, ne pas commencer le nettoyage jusqu’à ce que chacun complète le WOD.» Pourquoi ? Parce que vous n’êtes pas seul dans ce voyage. Les athlètes des autres niveaux sont là avec vous, partageant la même douleur et les gains que vous. Et tout comme vous, ils ont besoin d’encouragement. Si vous avez terminé avant les autres, applaudissez-les et aidez-les à se rendre à cette même fin aussi efficacement que possible.

Jetez un oeil autour de vous en explorant votre boîte. Est-ce que les gens s’encouragent? Est-ce que le prochain groupe, arrivé tôt pour se préparer, également investi dans la façon dont votre groupe travaille? Sont-ils là pour apporter leur soutien, à la fois physique et émotionnel? Est-ce que les gens s’entraident à ramasser l’équipement? Si c’est le cas, voilà l’étoffe d’un grand box.

Le Coeur

Ici, nous avons deux idées liées au coeur: le noyau physique, comme dans l’emplacement; et le noyau idéologique, comme dans les objectifs de la boîte pour les membres.

– Noyau physique (emplacement):

Un bon gym est accessible pour vous. Cela ne signifie pas nécessairement qu’il est physiquement proche de vous. Plutôt, c’est qu’il s’adapte à votre style de vie et votre emplacement. Votre boîte peut être à 30 minutes de voiture, mais aussi longtemps que vous pouvez faire cette route sans sauter WODs (parce que c’est trop loin), eh bien, c’est excellent. Pour la plupart d’entre nous, cela signifie que nous allons chercher une boîte qui est située soit près de notre maison ou de notre travail. Mais … et permettez-moi de le souligner, ne troquez pas le coaching compétent et la communauté pour des raisons de commodité. Si vous vous retrouvez à un gym moins que génial seulement parce que c’est pratique pour vous, eh bien … la commodité ne va pas aller très loin pour très longtemps si vous êtes sérieusement investi dans votre entrainement. Prenez le temps de passer dans les diverses installations autour de vous, faites le tour, demandez au propriétaire de la boîte pour une période d’essai, et ensuite prenez une décision.

group push press

– Noyau idéologique:

Encore plus important que le noyau physique est la base idéologique. Qu’est-ce que je veux dire par là? Votre boîte ont-ils une mission définie ou un programme de formation et de santé globale? Attendez, vous n’avez jamais pensé à votre entrainement en ces termes? Eh bien, vous le devez car le CrossFit ne sert pas seulement à déplacer des choses lourdes physiquement. Le CrossFit nous apprend la vie, la persévérance,  la diligence, et de croire en soi-même (tous les types de choses que nous allons nous concentrer dans notre série).

Une bonne boîte soutiendra cette idéologie. Que veulent-ils vous enseigner? Sont-ils investis dans plus que votre portefeuille? Sont-ils investis dans votre vie? Une grande boîte investi en vous entant que personne, et ils vous aideront à construire physiquement et mentalement.

Donc, il y a quelques réflexions préliminaires sur ce qui fait un très grand gym … Dans les prochaines semaines, nous allons plonger plus profondément!

Cet article était la partie 1 de notre «Recette pour un grand gym de CrossFit. » »

Tel que mentionné, les auteurs de Wodplanet avaient toute une série d’articles sur le sujet. Laissez-nous savoir si vous avez aimé celui-ci et nous vous partagerons les autres!

CrossfitEntraînement crossfitMotivation

Wow.
Depuis mon retour de Californie, j’ai commencé à suivre l’entrainement de niveau compétition du Crossfit Invictus. Tsé le Crossfit que Josh Bridges et Lauren Fisher vont…Des athlètes du top 10 aux Crossfit Games….
Pourquoi sur papier ça toujours l’air «correct» et finalement rendu au gym je.meurs.ma.vie. Non mais sérieusement, j’ai mal partout. On dirait que j’apprends soudainement la vie et je vois que je peux toujours m’améliorer, mais il y a un prix.
Ça joue avec mon mental pas à peu près. Je ne peux pas arriver un matin et dire ah non, ce jour-là me tente pas. Ça me tente pas, parce qu’il y a pleins de rameur et du Bench-Press et je hais ces exercices. Je les déteste parce que je ne suis pas bonne. J’ai toute les excuses du monde pourquoi je ne suis pas bonne. Tsé, je suis une fille et je suis petite… Mais si je me donne toujours des excuses, je ne serai jamais le meilleur de moi-même et je vais toujours rester la fille qui se donne des excuses parce qu’elle n’a pas envie de faire l’exercice dans lequel elle devrait mettre le plus de travail.
Ce que je trouve intéressant de suivre ce programme, c’est que tu sais seulement le matin-même ce que tu auras à faire. Aussi, le fait de suivre le niveau compétition, il y a une suite logique sur les exercices et les WODs qui nous font faire. Tout est là pour une raison. Cette semaine, mercredi, ils ont fait un repeat de la journée de mercredi de la semaine dernière. Pourquoi ? Parce que les athlètes ont fait le commentaire, en majorité, que ce WOD tuait. La majorité n’a pas été capable de le faire RX ou tout simplement comme moi, on eu l’impression à la fin de celui-ci que la vie était entrain de sortir de leur corps sans avertissement, aucun. Non mais sérieusement je ne me suis jamais senti aussi croche de ma vie… Jamais.
Donc, ils l’ont remis avec un peu d’arrogance, bien placée, ils ont dit : « Nous avons eu le plaisir de voir que les éléments très simple de ce WOD ont détruit les gens la semaine dernière. Pour certain, le cardio n’était pas où il devrait être, pour d’autres le mental n’est pas où il devrait être si vous êtes sérieux pour la compétition dans ce sport. Nous remettons le WOD 2 semaines consécutives parce que s’il vous a détruit la semaine dernière, vous apprendrez beaucoup sur vous-même en l’abordant de nouveau si rapidement. Allez-vous être meilleurs ou vous vous trouverez une excuse et vous vous laisserez abandonner ?»
Que croyez-vous ? Dans ma tête j’ai lâché 92 000 fois, c’est certain, mais au lieu d’abandonner à 100%, je me suis permise un jour de repos et je l’attaquerai ce soir. Avec le mental prêt pour la guerre ! Si jamais je meurs au combat, ça m’aura fait plaisir de vous écrire 😉
Andy

 

Motivation


Et oui je suis une fille. Il y a des semaines où la motivation est facile, je suis en feu et tous les jours j’ai hâte au soir pour m’entraîner et il y a aussi d’autres semaines où je me traîne semi de reculons au gym et que je rêve de rester dans mon divan avec une couverte et un film de filles. Il y a aussi des moments où c’est tough mentalement, émotionnellement. Quand les muscles sont endoloris et qu’il me reste 3 Reps ou pire encore que je suis dans la moitié de mon AMRAP et que je sens déjà que je fléchis et que les larmes me montent aux yeux. Il y a des soirs que je suis au gym et que tous les poids semblent plus lourd que je vois la voie s’allonger devant moi et que j’ai envie de baisser les bras.

C’est dans ces moments-là que je me rappelle mon parcours, que je me remémore les encouragements de mon coach et de mon entourage. C’est dans ces moments-là que je rage et que je pousse encore plus fort, que je passe ma frustration, ma peine, ma fatigue et me concentrant une répétition à la fois et
que je me dit, encore une de plus jusqu’à ce que j’atteigne la dernière rep de la dernière série. C’est aussi surtout dans ces moments-là que je visualise le plus mon but et que oui si ma compétition était aujourd’hui je ne serais pas dans les meilleures mais l’entraînement que je viens d’achever m’amène encore plus près de mon but et me motive à continuer.
Croyez-moi ou pas, quand j’entre au gym fatiguée ou émotionnellement épuisée, je ressors de là revigorée et je me sens mieux pratiquement à coup sûr. On dit des fois que le gym est comme une thérapie et moi j’y crois. Il y a des hauts et des bas comme dans n’importe quelle sphère de la vie et comme dans n’importe quoi, c’est en travaillant et en me dévouant pour que ça fonctionne que ça devient plus facile, que je m’améliore, que les moments de difficulté de démotivation sont de moins en moins présents pour faire place à la motivation et à l’envie de performer et d’utiliser ce terrain comme étant mon terrain de jeu où il est clairement l’espace dans la journée pour prendre soin de moi et pour faire la paix avec pleins de trucs extérieurs qui peuvent gruger par en dedans.
Émotion, motivation et dévotion. Trois mots qui décrive bien ma relation avec le sport, avec l’entraînement. C’est ma passion, c’est une partie intégrante de ma vie et malgré mes hauts et mes bas, je ne verrais pas ma vie sans ça. C’est vraiment la meilleure chose que j’ai pu intégrer dans ma vie.
Je souhaite vraiment à tout le monde de tomber amoureux de leur sport. Allez y, Foncez !
Andy
Motivation

Premièrement, non ce n’est pas le titre d’un site web, n’allez pas vérifier.
Deuxièmement, je pense sincèrement que c’est le mot qui résume bien ma première semaine de ma nouvelle phase d’entraînement ; la force appliquée.
Quand tu t’entraînes et que tu charges lourd, tu deviens vulnérable à tellement de facteur externe à l’exercice en soi. Je pense facilement à certains facteurs comme le sommeil/repos et la nutrition. Pour évoluer ces deux facteurs sont primordiaux.

Sommeil

Un Athlète doit dormir son 8h par nuit minimum pour laisser le temps à ses muscles de se régénérer.   Aussi, les temps de pose entre les exercices doivent être respecté et surtout les journées OFF. Tu n’es pas plus cool si tu choisis de t’entraîner pareil même si ton entraîneur t’a planifié une journée de repos. Au contraire. Un nombre de repos minimum est requis pour bien performer et surtout réduire la vulnérabilité musculaire.

Manger mium mium

J’ai lu récemment un texte du magazine The Box que j’ai trouvé ultra pertinent pour la vie de tous les jours et pour les athlètes de tous les niveaux. Il ne faut pas insinuer que si vous commencez le Crossfit ou un entrainement en haute intensité, que vous devez automatiquement manger strict Paléo ou the Zone.
Par contre, il faut trouver un équilibre alimentaire et surtout manger sainement. Comme tout être humain, j’aime ça des fois manger de la crème glacée ou bien prendre un verre de vin en soupant. Tout est une question de dosage. Prendre une crème glacée le samedi après-midi ensoleillé et prenant une marche avec ton copain/copine, il n’y a franchement pas de problème niveau santé. Tout comme prendre 1-2 verres de vin le samedi soir en soupant aussi tout va bien. (Oui le samedi est clairement ma journée triche de ma semaine!)
Il faut y aller avec le gros bon sens comme on dit et surtout bien manger ses légumes, beaucoup de légumes et de la protéine en masse! C’est sûr que dans mon école de pensée, la protéine animale est la meilleure source de protéine, mais je ne suis pas du tout le genre à dénigrer votre façon de penser si vous mangez de façon équilibrée qui convient à votre mode de vie et à votre forme physique !

La forme

Sinon, mon troisième point considérant la vulnérabilité du corps à l’entraînement est la Technique. C’est tellement important d’avoir une bonne forme quand on se lance dans des mouvements complexes comme le power lifting ou l’Haltérophilie. Tsé quand on dit qu’il n’y a que 3 mouvements de power lifting et qu’il y a des athlètes qui consacre leur carrière entière au développement de la bonne technique et à l’amélioration de celle-ci, c’est que ça ne doit pas être pris à la légère et surtout il faut s’écouter, ne pas vouloir sauter des étapes d’évolution.
Si tu lèves 235 livres en Deadlift mais que tu dois utiliser ton dos et l’arrondir, tu vas avoir un problème et un gros appart ça! Concentre-toi donc à perfectionner ta forme, ta technique, ta respiration et tu vas le lever ton 235 livres probablement plus vite que tu penses même !
Alors en gros, cette semaine, j’ai vécu une belle leçon de vulnérabilité avec certains mouvements et je me suis souvenu que mon but est de bien évoluer, sainement. Une étape à la fois, j’adore mon sport, je veux pouvoir le pratiquer et ça pendant longtemps. Des blessures c’Est tellement arrivée rapidement et ça prendre si longtemps à traiter, ça ne vaut vraiment pas la peine de brûler des étapes pour atteindre un objectif rapidement et après devoir reculer de 10 pas en arrière !
Allez ! Continuez à faire ce qui vous passionne !
On se rejase sous peu 😉

Andy
Motivation

Hier soir dans le train en route vers la maison, j’avais commencé à bâtir un article de motivation. Par la durée trop courte je n’ai pas eu le temps de le terminé complètement. Bah, pas grave que je me suis dit, je terminerai au retour du gym. Alors, direction Zone Sportive avec mon copain et j’ai fait un des entraînements les plus mauvais depuis longtemps… J’ai dû tout rabaisser les poids et tout. Ouin, un peu moins motivée la fille soudainement.

Je finis le tout pareil et je vois les gars de Football sortir de la petite salle privée où ils s’entrainent. Ils empilaient des boîtes une par-dessus l’autre comme je les ai vu souvent faire. Ils sautent comme de vrais gazelles c’est fou le talent qu’ils ont, c’est magique, mais là les boîtes commençaient à être dangereusement hautes. Je m’installe donc assise en indien sur une des boîtes basses prête à regarder la magie se produire.

Bon, deux des joueurs commencent à sauter de plus en plus haut, un moment ils étaient rendus à 5 pieds de haut, les deux sautaient avec grâce et douceur c’en était beau. Ils ont donc fait, ok on essaye un peu plus haut, 5pi3. L’un des deux, qui était nu-bas soit dit en passant, mesure 5pi7.. et il a réussi à la sauter avec finesse. J’étais bouche bée, impressionnée et je me suis dit que ça valait bien un article sur lui, sur l’athlète qu’il est. Donc voilà, avec ce giga préambule, je vous le présente et je mettrai la vidéo du saut à la fin.

Jamal Henry

Nom : Jamal Henry

Âge : 22 ans (né en 1991)

Occupation : Finissant à Concordia en Théologie et débute un 2e baccalauréat en exercise science

Sport : Football Américain

Position : Receveur

Équipe : Stingers Concordia

Numéro : 12

Aspiration : Devenir joueur de Football professionnel, entraîneur professionnel et entraîner les jeunes joueurs de Football. Il a commencé à jouer au Football à l’âge de 8 ans et il a passé la majeure partie de son secondaire aux États-Unis. Il commence sa 4esaison avec les Stingers de Concordia, termine son 1er Baccalauréat et en commence son second tout en s’entraînant à la Zone Sportive et jouant au Foot. Bien occupé, comme on dit, c’est un athlète dévoué pour son sport mais aussi, pour l’avoir vu, avec les gens.

J’ai rencontré Jamal à la Zone Sportive et je suis toujours impressionnée de le voir aller, c’est une personne extrêmement sympathique, avec tout le monde, en plus d’être incroyablement talentueux. J’admire sa persévérance et son talent. Je trouve qu’il est inspirant parce qu’il prouve qu’un travail acharné peut amener loin.

 

Bon ok, il a beaucoup de talent naturel, il est capable de réussir dès le premier essai des mouvements qui demandent des mois de pratique, comme les muscle-ups.

 

*Tranche de vie*

Un entraîneur dit : Hey Jamal, es-tu capable de faire ça des muscle-ups.

Il répond : J’sais pas j’ai jamais vraiment essayé (le fait et le réussi….) Ah ! Oui, c’est dure un peu hein. (!!!!)

Il est la preuve qu’avec du travail et de la passion, on ne peut que réussir nos buts, nos rêves et nos ambitions. L’important est de toujours se perfectionner, d’essayer un peu plus haut, un peu plus fort et un peu plus loin…

Je vous invite à regarder ses vidéos sur youtube, il est très impressionnant, c’est un excellent joueur de Football mais aussi un athlète habile et en contrôle de son corps dans l’amplitude de ses mouvements, dans la vitesse, la précision, l’agilité et l’exécution. Bravo Jamal, continue, tu es inspirant pour plusieurs, des athlètes qui restent les 2 pieds sur terre et qui sont humbles, on en a toujours besoin. J

J’espère que vous aimez ce petit spécial pour présenter un athlète local qui m’inspire un peu plus chaque fois à persévérer vers l’atteinte de mon rêve.

Voici la vidéo

Bon training

Andy

Motivation

Bon ok, il y a des gros noms en crossfit que je cite souvent, que je partage souvent des vidéos, des liens et que je m’identifie pas mal. J’ai envie aujourd’hui de vous parler d’eux un peu et pourquoi je considère que ce sont de bon « role model » pour moi.
 

Rich Froning Junior

Rich Froning's Profile Picture
 
3 Fois gagnant des Crossfit Games sur 4 participations. Il est le Fittest man on earth. Né en 1987, ça fait de lui un athlète déjà extrêmement accomplit à seulement 26 ans. Il est propriétaire de son propre Gym de Crossfit, entraîne des gens et est extrêmement motivateur. Lorsqu’il fini un événement, tu le vois toujours aller encourager ses adversaires/confrères pour les aider à pousser un peu plus fort pour terminer avant le time cap. Je trouve ça extrêmement motivant et surtout accessible de voir que le meilleur t’aide a finir au lieu de se pavaner et penser à sa petite bulle pendant que toi tu rush ta vie à essayer d’avancer. Pour moi, il est la preuve que la « gloire » n’est pas obliger de te monter à la tête et que tu peux rester humble et humain.
 
 

Julie Foucher

 
Julie Foucher a été la second fittest woman on earth en 2012. L’an dernier elle a prit une pause pour se concentrer sur ses études en médecine. Elle a tout de même fait du bénévolat pour les Crossfit Games. Nous pouvons la voir dans les démos des WODs des Opens. Cette fille sonne avec simplicité. J’aime ce qu’elle inspire. L’équilibre entre sa passion du Crossfit et ses études. J’ai extrêmement hâte de la voir évoluer cette année au Games 2014 !
 
 

Michele Letendre

Michele Letendre's Profile Picture

Une québécoise. Yeahhh!  Une sportive dans l’âme, dès l’âge de 9 ans elle faisait de la natation de compétition et ensuite elle était joueuse de Waterpolo. C’est en 2009 qu’elle a découvert le Crossfit. Elle se dédie à ce sport depuis ce temps. 2011, sa première présence au Crossfit Games où elle s’est classée 25e. Depuis elle ne cesse d’évoluer. L’an dernier, elle a terminé 12e avec de solide performances ! Elle est gérante du Crossfit Plateau où elle entraîne aussi. On peut dire que le Crossfit est une grande partie de sa vie. Avoir une athlète élite québécoise, ramène l’accessibilité du sport. On se dit que nous aussi on pourrait y arriver. J’aime beaucoup la voir évoluer et la voir persévérer. Une athlète à voir évoluer pour les Games 2014, elle sera dans le top 10, j’en suis certaine.
P.S. Si ça vous intéresse de voir une journée dans sa vie :
 
 

Camille Leblanc-Bazinet

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J’ai effectivement garder ma plus grande inspiration pour la fin. Camille est extrêmement motivante pour moi parce que je vois des traits de sa personnalité en moi. Après avoir regarder le final event des Crossfit Games 2013, je ressentais que je voulais la voir évoluer et surtout la voir gagner. Entant qu’athlète, elle est persévérante. La première fois qu’elle a fait les Crossfit Games, elle est entrée en vouloir marquer les gens. Elle voulait prouver à tout le monde que ce n’était pas seulement une petite fille, elle pouvait y arriver et bien se classer. Résultat ? Son nom était sur les lèvres des commentateurs comme étant un nom à se souvenir. Elle est Co-Propriétaire du Crossfit Brossard en plus d’être aux études et de participer à pleins de compétitions. Elle a fait partie du Team World de lInvitational 2013. Le fait qu’elle soit québécoise, 5’2″, 25 ans, exactement comme moi… Je ne sais pas pourquoi mais ça me fait dire que je peux le faire aussi. Je suis obstinée, forte mentalement, prête à faire bien des sacrifices pour arriver à mes buts. Comme Camille, je veux gagner, alors j’aime beaucoup suivre son évolution. Cette année pour les Crossfit games 2014, j’aimerais bien la voir dans le top 10, même le top 5 ! Si ça vous intéresse, voici sa biographie d’athlète en français : http://www.youtube.com/watch?v=g0mC5m4STXg
 
Voilà mon top 4 d’Athlètes que j’aime voir évoluer. C’est certain qu’il y a Jason Khalipa, Dan Bailey, Sam Briggs et j’en passe mais ses 4 là, je les suis plus particulièrement. J’espère que vous appréciés ces petites descriptions et que vous comprenez un peu mieux pourquoi je les idolâtre.
 
Vous, avez-vous des idôles qui vous motive dans votre sport?
 
Bon training,
 
Andy

Motivation

Ce matin, je me suis demandée, bon sur quoi je pourrais écrire aujourd’hui. J’ai tellement de choses à dire, j’emmagasine de plus en plus d’expérience et j’aime tellement ce que je fais… mais comment je m’y suis rendue. Comment j’ai fait pour passer de « Je m’entraîne parce que je suis tannée de ma forme physique » à « Je m’entraîne parce que j’aime ça, je veux entraîner des gens, motiver des gens ».
Je me suis donc posée la question : À partir de quand exactement le switch s’est fait. La réponse n’est pas très étonnante…C’est quand, il y a eu des résultats. Bon c’est certain que si vous me suivez depuis un certain temps, vous savez qu’il y a l’entourage et l’environnement qui joue pour beaucoup aussi, mais ce qui compte avant tout lorsqu’on travaille sur quelque chose c’est de voir des résultats…
C’est comme dans n’importe quel domaine. Si un vendeur faisait de super approches de vente, de super bons meetings mais qu’il ne finalisait jamais ses ventes… le processus peut être super enrichissant et doit l’être mais au final ce qu’on veut c’est le bonbon au bout.
C’est fou comment réussir quelque chose, amène un sentiment de bien-être et un désir de pousser encore plus. La confiance que ça amène, le changement du négatif vers le positif et l’atteinte d’un bonheur. Dans mon cas, j’ai de petites victoires un peu partout dans mon parcours et c’est ce qui fait que j’aime ce que je fais. Je me rappelle l’étonnement que j’ai eu lorsque j’ai eu mon premier pull-up, les larmes qui me sont montés aux yeux quand j’ai réussis mon premier Muscle-up, la fierté qui émanait lorsque j’ai constaté que je pouvais lever plus que mon propre poids et même plus que le poids de mon copain en deadlift.. c’est fou le sentiment d’accomplissement. Ce sentiment, il n’a pas de prix.
Quand tu vois tes résultats, ton progrès tu deviens un peu obsédé. Tu veux toujours plus et un jour, tu frappe un mur. Tu essaies quelque chose que tu penses pouvoir faire et les doigts dans le nez appart ça et ça te revient en pleine face que, non, tu n’es peut-être pas encore capable.
 Et oui, je parle de ma belle réalisation/claque dans face lorsque j’ai fait le temps pitoyable de 11minutes 06 secondes dans le wod Fran. Les athlètes élites de crossfit le font en 2-3 minutes. Ouf, la petite a encore des croûtes à manger… c’est contre ce genre d’athlètes que je vais compétitionner pour les Opens des Crossfit Games… Si je veux atteindre mes objectifs je dois pousser plus fort encore.
Oui, il y a des gens, beaucoup de gens, qui me trouvent très intense déjà. Que si je me remet les deux pieds sur terre, considérant le parcours que j’ai fait, je suis déjà très bien avancée, mais je veux plus, je sais que je peux faire plus. Je VAIS faire plus.
Depuis lundi, j’ai enclenché ce processus, je suis allée défier les lois de la gravité et mettre un peu plus de poids, faire un peu plus de handstand push-up, de Ring Dips, lever plus lourds dans mes Snatch one arm, prendre moins de repos dans mon fight gone bad etc… Mon entraînement est fait pour me dépasser et je dois arrêter d’avoir peur. Aujourd’hui je suis bien rackée… mais tellement fière.  Mon évolution est notable juste en 1 semaine. Je compare mes chiffres de la semaine dernière versus cette semaine et c’est ridicule comment c’est une bonne amélioration. Je me répète…Je suis fière !
Motivational Quotes
La fierté que tu ressens dans l’accomplissement, dans l’évolution, dans les résultats, ça doit être ça qui te nourrit en entraînement, surtout lorsque tu as un but précis. Si atteindre le but précis te rend frustré, elle est où la motivation? Fondamentalement, le but de chaque être humain, c’est pas tellement compliqué, c’est d’être heureux. Alors le bonheur tu le trouve dans l’accomplissement et dans la fierté rattachée à ça.
Soyez fiers du chemin parcouru, des efforts que vous faites et de votre évolution. Oui soyez fiers et continuez à foncer vers l’avant. Il y a des hauts et des bas, mais ça prend ce genre de sentiment pour apprécier vraiment les dépassements et les résultats. C’est pas toujours facile, mais il faut continuer !!
Je crois en vous ! Bon Training 🙂
Andy